jeudi 30 septembre 2010

Mes occupations...

En ce moment, je ne chôme pas mais je vois avec plaisir ma liste de tâches descendre. Déjà, à quelques détails près, le site web de CoCyclics est dans la place !

Je vous y invite, avec un QR Code, le bidule à droite, c'ets la transcription de l'adresse web de CoCyclics, mais rassurez-vous, l'image est cliquable.
Bref. Que fais-je en ce moment?

Je bêta-lis
Je suis alpha-lectrice sur un roman CoCyclics. Je l'ai lu, on a partagé nos retours, il ne manque plus que de synthétiser la fiche. Evidemment, je suis en retard. Mais on y est presque ! C'est toujours une expérience formidable !

Je CoCyclics toujours


On prépare des tas de choses. Je suis super occupée même si je me préserve mes soirées d'écriture à partir de 22h00 (oué, je sais, c'est un poil dément.) Tout marche vraiment bien en ce moment pour ce projet. Ca donne des ailes pour le reste.

J'ai pu voir les images du WE dernier à Paris, pour les lancements des yeux d'opale (pas encore lu) et de la Pucelle de Diable Vert (vraiment, vraiment bien). Une sacrée fête ! (cf. Le compte-rendu !)
Plongez-vous dans l'ambiance de cette journée en découvrant l'album des grenouilles !

J'écris


Baxian va bien (ça dépend du point de vue je vous dirais), on est arrivé au 3/4 de son aventure et ça sent grave le roussi pour notre espion préféré. Une sévère relecture m'attend. La fin est tellement moins relue que le début, qu'on voit bien que ce n'est pas du propre. Qu'importe ! Il faut que je termine ce premier jet au plus vite. Je suis optimiste.

Ce qui m'ennuie, c'est que je voulais ce roman un tantinet passerelle jeunesse (pour maximiser le public, et donc j'avais évité les déballages d'entrailles de marjaks par exemple), mais au final, je me rends compte que l'imbrication des deux intrigues et le nombre de personnages risque de le rendre un poil difficile pour certains jeunes lecteurs. A voir avec Silène, la spécialiste du domaine.

Ceci dit, mon tricot me plaît pour le moment, c'est le principal. Mais, hum, quant à la forme, les dialogues de la fin sont... longuets. On va trancher à la relecture, promis.

588 KSEC, un bon gros bébé qui se dirige gentiment vers les 600 000 SEC.

Je m'essaie à de nouvelles techniques

Vive le madmapping. Ou pas. C'est intéressant de mind-mapper, mais je préfère mettre des mots en vrac n'importe comment dans mon carnet. Je m'y retrouve mieux, bizarrement.

En tout cas, c'est joli, et c'est utile pour simplifier les lignes directrices des personnages. Je m'éclate. J'aime bien essayer des trucs.

Je squatte

Avec Smoke des fois (mais chéri, je te jure que je le vire dès que je me rends compte qu'il est là), on s'installe le soir dans le vrai bureau de la maison. Finalement, j'y suis bien. Il suffisait que je m'habitue.

Je rêve de la parution d'ASLO


La parution d'Au Sortir de l'Ombre approche, et les préventes démarrent au premier novembre. Du coup, je m'informe sur les salons et autres joyeusetés de la promotion. L'aventure éditoriale compte son lot de péripéties. J'entends m'y préparer. Je ne me laisse pas abattre par les problèmes et les jets d'acide auxquels sont confrontés les auteurs (il y a de quoi choper le cafard en se baladant sur la toile). Non pas que je ne compatis pas, mais mon style, c'est :
À coeur vaillant, rien d'impossible.
Cela fait longtemps que je m'accroche à cette maxime et elle me va bien.


lundi 20 septembre 2010

Grognerie

Samedi en voiture, j'ai pensé à plusieurs éléments d'importance 7/10 je dirais sur mon échelle de valeur.
Ce dont je me souviens: ça concernait les Siwès Chronicles, ça touchait à Siwès, c'est tout.
    Le temps de faire les courses, et cette mine d'or avait pris la poudre d'escampette. Ca nous arrive à chacun, d'avoir des petits trous qui aspirent les pensées fugaces, rien de méchant en apparence... Le temps efface bien d'autres souvenirs me direz-vous, un brin fataliste. Certes. Le temps aime juste nous rappeler qu'il n'est pas notre ami, si vous voulez mon avis.
    Depuis, je cherche. Je finirai par retrouver ce que j'ai oublié, en général, les considérations importantes apparaissent en double parfois en triple sur mes carnets. Par le côté obscur de la force, cela m'agace tout de même prodigieusement.
    ps : 568 000 SEC, le compteur regrimpe.

    mercredi 15 septembre 2010

    Projection derrière une table

    Je me demande si j'ai l'air sympathique*, physiquement je veux dire... Je pense que oui, et pour étayer cette affirmation, je me base sur le fait que quand j'attends pour traverser une rue, même hors des clous, les voitures s'arrêtent facilement. Même chose au volant quand j'attends à un stop. C'est à mon sens révélateur.

    J'ai participé à une conversation intéressante avec Paul* sur le capital sympathie de l'auteur en dédicace. Apparemment, ça peut faire une grosse différence sur les salons, et c'est logique. Si l'auteur paraît sympathique, le promeneur a envie de s'approcher et de se laisser tenter... Quant à Paul, je ne m'en fais pas pour lui. Il semblerait qu'il ait un truc, les gens adorent lui demander l'heure.

    De mon côté, j'ai réfléchi, je ne prendrai pas de risque. Je vais prévoir une coupelle de chocolats et bonbons, bien en évidence à côté de ma pile de romans : grâce à mon appât, le badaud s'arrêtera sur la couverture, laquelle sera bluffante (pas de pression pour Aurélien Police, non non), et mon sourire et ma grâce légendaire (ou une blague débile) n'auront plus qu'à conclure la vente.

    Mon plan est machiavélique. Confiante pour 2011, je suis.

    * Eh oui, encore un questionnement d'une profondeur abyssale de la part du jeune auteur en devenir.

    ** Paul Beorn est l'auteur du cycle de La Pucelle de Diable Vert dont le premier tome La perle et l'enfant est paru chez Mnémos. Je vous la recommande chaudement, c'est bien écrit, drôle et agréablement dépaysant (un petit goût de Chihiro dans cet univers.) Vivement la sortie du tome 2 !

    mardi 14 septembre 2010

    Progression dans le challenge

    SEC: 565 000

    Heureusement que j'ai avancé pendant les vacances, parce que depuis, je fais beaucoup de choses (comme aller au restaurant...), mais pas beaucoup pour Siwès et Baxian.

    Je relis mon personnage, encore, avant de poursuivre sa partition. Vous vous demandez pourquoi je fais du yoyo sans arrêt à revenir au début, moi aussi, mais je suis obligée, voyez, je n'écris pas bien propre directement, je construis, je rajoute, j'étoffe, je réaligne, blablabla.

    Je dois avoir un genre de second cerveau qui bosse en sous-main et qui décrète tout seul de ce qu'il y a ou non à faire sur mes textes. Je l'ai bien planqué, vu qu'il ne me souffle pas les solutions quand je les lui demande explicitement, qu'il est avare de bons mots, plus grincheux qu'un ours au sortir de l'hiver, et que pour couronner le tout, il ne me répond jamais avec clarté.*

    En vérité, je crois que travailler un personnage, ce n'est pas qu'une histoire de facettes (voir les Aventures de Robert), de motivation ou de questions/réponses. Il faut le connaître intimement. Tout élément de l'intrigue, pris séparément, est toujours simple, la complexité nait du nombre de paramètres à prendre en compte, et la vie de ce personnage naît de son aptitude à les intégrer à sa personnalité.

    Je n'ai pas trouvé d'extraits assez bon à vous mettre. Le malheur de l'écrivain, c'est la poutre dans l'oeil : soit il adore, soit il déteste, soit il ne sait pas et donc il ne prend pas de risque. :-)

    * Non, je ne me soigne pas.

    vendredi 3 septembre 2010

    Ce qui frappe à notre porte

    Les monstres se cachent-ils toujours dans l'ombre ?
    Je ne parle pas de gothan pour une fois.