samedi 30 octobre 2010

Préventes, c'est parti !

Oui, pas de décompte, rebondissement, c'est incroyable mais c'est vrai, les préventes ont été ouvertes cette semaine. J'ai même déjà vendu des livres ! Ce qui est amusant, c'est que j'en suis la première surprise*.

Ne vous sentez pas oublié pour autant ami lecteur, souscrire aujourd'hui ou hier ne fait pas de différence tant que vous souscrivez !

[Oui, je sais, il y a comme de relents d'apprentie commerciale dans l'air... Il faudra que je vous parle de ces histoires de promotion. C'est le grand stress.]

22 € 90 pour plus de 400 pages de suspens et de frisson !

Je vous rappelle que la souscription est importante pour le tirage d'Au Sortir de l'Ombre, qu'il s'agit d'une réservation, que les frais de port sont offerts et qu'en plus, il y aura un petit cadeau.

Deux possibilités pour souscrire :
  •  Par chèque en remplissant le bon de commande ; le chèque sera encaissé à la parution soit au 25 janvier 2011 ;
  • Par paypal, en achetant le livre via le bouton en bas de la page de la boutique ou le bouton suivant ; dans ce cas, vous êtes débité(e) tout de suite.

Si vous hésitez, je vous recommande de lire la présentation améliorée sur Au Sortir de l'Ombre. Je compte ajouter quelques témoignages de lecteurs. Bon, et ce WE, je passe commande de ma bande-annonce...

Et on dit merci à son frangin ^__^


* Il existe une différence entre anticiper et réaliser que la chose s'est produite. La sensation est délicieuse.

mardi 26 octobre 2010

De quoi parle "Au Sortir de l'Ombre"

Lady Chapillon m'a invitée sur le forum de http://steampunk.fr* pour parler d'Au Sortir de l'Ombre, et j'en ai livré un peu plus sur le contenu. Ce ne serait pas très gentil de vous léser et de ne pas vous en dire autant.

Je vais reprendre ici une partie de ma présentation et développer un peu.  C'est délicat de présenter son texte, et commencer en ligne est un bon exercice. (Mon blog m'a toujours servi d'atelier, notez.)

Réservations dès le 15 novembre, parution au 25 janvier [boutique]

Londres, 1889. La guilde d'Ae protège les aethrynes depuis des siècles pour qu'elles se consacrent à leur tâche : garder piégés dans leur ombre de sinistres monstres avides de massacre, les gothans. Lorsqu'une secte d'aliénés s'attaque à ces prêtresses, l'organisation est ébranlée par la traîtrise de plusieurs agents d'importance. Les traqueurs William, Christopher et Heinrich, qui sont chargés de la protection de lady Eileen pour une nuit, n'imaginent pas les enjeux de la chasse dont ils feront bientôt l'objet. Mais dans l'ombre d'Eileen, attentif, Il sait ce qui est sur le point de se jouer.  

Alors de quoi est-ce que cela parle ? D'aventure, de folie, de démesure, de survie, de détermination, en somme d'humanité.

Sur la couverture d'Aurélien Police, vous découvrez l'un des personnages principaux, Eileen une prêtresse dont l'ombre est habitée par un gothan. Elle est poursuivie par de mystérieux traîtres qui n'hésiteront pas à la tuer, quitte à libérer son monstre dont les appétits sont sanguinaires. Les traqueurs qui l'accompagnent font partie de la Guilde et ont chacun un pouvoir spécifique (que je vous laisserai découvrir). Ils la protègent de leur mieux, malgré la présence oppressante du gothan qui leur donne des cauchemars, leur mine le moral, les angoisse un peu plus chaque jour, en particulier lorsque la nuit tombe et que les ombres assaillent les murs... Bien sûr, leur aventure les mènera à découvrir plus qu'ils n'auraient souhaité en apprendre et les véritables enjeux les dépassent complètement.

C'est un roman à suspens, avec une tension particulière. Le gothan est un monstre pervers et intelligent qui ne vit que pour étancher sa soif de sang. Il est retenu dans l'ombre mais il peut revêtir de multiples apparences et il déborde d'imagination pour faire souffrir ceux qui approchent de sa prêtresse.

Si cela se passe à Londres en 1889, ce n'est pas gratuit. A l'époque, plus sombre que Paris, le Londres victorien dégageait une atmosphère propice à ce genre de créature. Toute la dynamique de cette cité et de son organisation convenait parfaitement comme cadre à la Guilde d'Ae qui garde le secret de l'existence des gothans.

Ceux qui me connaissent savent que je ne suis pas du genre à y aller par le dos de la cuillère. Au Sortir de l'Ombre ne joue pas que sur l'atmosphère. C'est une histoire où les monstres sont de véritables personnages, ils ne font pas partie d'un decorum et ils s'en donnent à coeur joie.

Je m'arrête là. Il vaut mieux vous laisser découvrir les héros du roman dans le texte.


* Si vous aimez le steampunk, je vous encourage vivement à y faire un tour. Les sections sur les créations,  en particulier, sont époustouflantes.

PS: je réfléchis à une nouvelle bande-annonce.

lundi 25 octobre 2010

Premier jet terminé !

J'ai terminé le premier jet de la Guerrière Fantôme (tome 1 des chroniques de Siwès).

Evidemment, pour certains, la nouvelle sent le réchauffé... Il faut dire que la semaine dernière, je n'ai pas eu le temps de poster à ce sujet entre deux émotions occasionnées par la couverture d'Au Sortir de l'Ombre (que je ne me lasse pas d'admirer.)

En vérité, non seulement j'ai fini ce premier jet, mais en plus j'ai trouvé le titre du tome suivant : Le Lion à la Langue Fourchue. Ceux qui ont suivi se souviennent qu'avec le second personnage principal Baxian, je construisais les bases du tome 2, et naturellement, la fin de cet épisode est liée à ce titre. J'en suis très contente. J'ai hâte de me mettre à l'écriture de ce deuxième tome et je prends déjà des notes (assaillie que je suis par mes idées qui ne semblent pas vouloir prendre congé, elles.)

Cerise sur le gâteau, j'ai aussi résolu une certaine partie du cliffhanger diabolique de Siwès qui ne me convenait pas. Je sais, parmi vous les bêta-lecteurs désignés sont ravis de le savoir, un cliffhanger, génial, le genre de truc qui énerve le lecteur qui doit attendre un an pour lire la suite...

J'ai une nouvelle à terminer pour un Appel à textes, et dès que j'ai fini, je me mets à la relecture. Si je pouvais l'achever pour noël, ce serait vraiment bien. Comme on dit, à coeur vaillant, rien d'impossible ! ^__^

Lecture...


PS: j'ai lu Vegas Mytho de Christophe Lambert ce WE.
C'est ENORME ! J'ai adoré !

Vous aimez Californication ? Les films de brigands ? Les 50's ? Les Dieux? La mythologie ? Les SUPERS POUVOIRS?

Allez-y, foncez. Je ne l'ai pas lâché en deux jours.

jeudi 21 octobre 2010

La couverture d'Au Sortir de l'Ombre

Illustration d'Aurélien Police
À paraître début 2011 aux éditions du Riez
Londres, 1889. La guilde d'Ae protège les aethrynes depuis des siècles pour qu'elles se consacrent à leur tâche : garder piégés dans leur ombre de sinistres monstres avides de massacre, les gothans. Lorsqu'une secte d'aliénés s'attaque à ces prêtresses, l'organisation est ébranlée par la traîtrise de plusieurs agents d'importance. Les traqueurs William, Christopher et Heinrich, qui sont chargés de la protection de lady Eileen pour une nuit, n'imaginent pas les enjeux de la chasse dont ils feront bientôt l'objet. Mais dans l'ombre d'Eileen, attentif, Il sait ce qui est sur le point de se jouer.
La semaine prochaine, je vous explique pourquoi c'est un bon bouquin et pourquoi il faut le lire :-)
Je vous laisse relire l'article précédent : So close and so far
N'est-ce pas qu'elle est belle cette couverture ?

Note : Si pour vous comme pour moi, l'impatience monte, vous pouvez aussi le signaler ici:
http://www.scifi-universe.com/encyclopedie/livre/22519-au-sortir-de-l-ombre.htm

mercredi 20 octobre 2010

So close and so far

L'avenir, cet inconnu. Malgré les malencontreuses péripéties que subissent les éditions du Riez, l'exaltation est là. On est très proche de voir Au Sortir de l'Ombre paraître.

Les éditions du Riez m'ont déjà offert plusieurs moments d'exception, la façon dont ils m'ont annoncé que le roman était retenu entre autres, et hier, j'en ai eu un autre, tout aussi intense.

Je me suis tendue comme un arc quand j'ai découvert dans ma boîte e-mail ce message d'Aurélien Police. Je n'avais plus qu'à cliquer pour découvrir son travail, avec, de retour dans mon esprit, les doutes sur ce que je lui avais dit de mon texte, mes croquis miteux que j'avais retournés dans tous les sens, les conseils que m'avait donnés un ami auteur, mais aussi la certitude tranquille de mon éditeur...

Evidemment j'ai cliqué, hein, et j'ai découvert une scène qui m'a coupée le souffle, (ou fucking awesome comme dirait mon cher et tendre). Le bonheur, le pied intégral, je l'ai regardée encore et encore, à me repaître de ses moindres détails toute la soirée*. Il n'y a qu'une petite chose à revoir. C'est vous dire si Aurélien a merveilleusement travaillé. [Insoutenable suspense, je suis cruelle, vous devrez patienter.]

Et puis, il y a eu cette révélation. Vous savez, la fraction de seconde où tout s'éclaire. Grâce à cette seule image, j'ai enfin compris mon désir de publication (oui, j'aurais mis le temps, bon). J'avais déjà cherché à comprendre : la gloire, non ; la fortune, heu non non ; le leg à la postérité pas plus ; l'envie de décrocher le goncourt, ah ben non c'est pas de la littérature le fantastique faut pas oublier. Alors ?

Parce que mine de rien, une parution à quelques centaines d'exemplaires, c'est une goutte d'eau dans l'océan de romans qui noient les librairies chaque année. De même si on considère le micro-éditeur qui se tue à la tâche pour ses bouquins, on peut se demander ce qui pousse à tant de sacrifices (parce que son boulot n'est pas anecdotique, OK). Alors pourquoi une petite parution revêt-elle une telle importance, au-delà de proportions si on se cantonne au retour sur investissement ?

Parce qu'on s'en fiche du nombre d'exemplaires parus, il s'agit d'un livre, un véritable livre. On ne parle plus d'un manuscrit ou d'un texte, on parle ici d'un objet qui possède un caractère magique, le pouvoir de faire rêver un tiers**.

On ne sait jamais ce qu'on va découvrir dans un livre. La couverture donne un indice, la quatrième aussi, mais à quelle sauce se fera-t-on manger ? On l'ignore. On en déteste certains que d'autres ont semble-t-il adoré, on les aime souvent sans pour autant dépasser le stade de la promenade cordiale, et puis de temps en temps, c'est le choc, on vit l'histoire, on s'identifie aux personnages, on est incapable de reposer l'ouvrage.

L'auteur lui, quand il écrit, il est dans cet état de choc vous voyez. Non là, je fais une généralité. Disons plutôt que quand j'écris, je suis dans cet état de choc. Il y a beau y avoir de la technique, de la préparation, quand j'écris, je suis chevillée à mes personnages, je les ai dans la peau. Je ne me contente pas de les regarder et de tirer sur leurs ficelles, quand ils ont mal, j'ai mal, quand ils ont une poussée d'adrénaline, je l'ai aussi, tout ce qui leur arrive, je le vis avec intensité.

Des gens vont bel et bien tenir mon livre. Ils aimeront ou pas, peu importe, ils erreront avec mes personnages. Certains partageront même une résonnance particulière avec mon texte et ils vivront une aventure intense.

(Du moins, si tout se passe bien***.)
(Bref je suis foutue : je cours après une chimère. Pire, j'adore ça. :-D )



* C'est pour ça que je n'ai toujours pas écrit la dernière scène qui me manque des Siwès Chronicles, impossible de me détacher de cette image, à ce jour la plus belle illustration qu'on m'ait faite, et surtout la plus fidèle à mes souhaits.
** Ou cauchemarder, c'est selon. ^__^ Non, Au Sortir de l'Ombre, c'est du frisson. Pas d'inquiétude. 
*** Allez on croise les doigts et si on a envie d'un coup de shopping, on n'hésite pas à faire un tour sur le site du Riez !

lundi 18 octobre 2010

Envie de lire ?



Mes amis, mes chers lecteurs, une fois n'est pas coutume, je vais faire un peu de réclame pour mon éditeur (bon, ok, dès que je peux je place un mot sur lui, et alors ?) Aujourd'hui, c'est différent, l'heure est grave, assez pour que les souscriptions d'Au Sortir de l'Ombre soient décalées. Donc on va suspendre le compte à rebours.

Oui, vous êtes un poil inquiet, je le suis autant, croyez-le bien. Le problème des petites structures, c'est qu'elles avancent beaucoup et qu'elles récupérent leur mise tardivement. Mon éditeur a à coeur de payer ses illustrateurs, auteurs et correcteurs avant de poursuivre avec de nouvelles parutions (ce qui est compréhensible et tout à fait louable). Bref il a besoin de ventes et il a lancé un appel sur le net.

Alors si vous aviez déjà parcouru son catalogue et trouvé un bouquin sympa, c'est le bon moment pour retourner le commander. Sinon, si vous aviez prévu des achats de livres dans les prochaines semaines, ce serait chouette de jeter un coup d'oeil sur sa production.

Je vous remets le lien : http://www.editionsduriez.fr/

De mon côté, j'ai lu et aimé la Loi du Désert de Franck Ferric, j'ai commandé Un Autre de Christophe Nicolas (qui a l'air vraiment excellent), le recueil Food for maggot a obtenu de bonnes critiques, et on m'a dit du bien de la saga vampirique de Virginia Schilli, et dans la prochaine antho en souscription, il y a pleins de bons auteurs (et même Sire Cédric !)

Quant à l'avenir d'Au Sortir de l'Ombre, dès que ça bouge, je vous fais signe.
[Dark side of the force.]

vendredi 15 octobre 2010

Tremplins de l'Imaginaire

C'est avec joie (et émotion) que j'ai vu naître cette semaine l'association qui va désormais porter légalement le projet.

Je trouve son nom magnifique, et fort en regard de nos objectifs :
- le soutien et l’aide aux auteurs de la littérature francophone SFFF (science-fiction, fantastique, fantasy) ;
- par extension, la promotion de cette littérature ;
- le soutien et l'aide au collectif CoCyclics.

Cette association nous permettra de réaliser ce qu'on ne pouvait pas avec CoCyclics d'un point de vue matériel. Notre première action sera la parution de notre guide des éditeurs, le Grimoire Galactique des Grenouilles, prévue pour les Utopiales (on croise les palmes) du 10 au 14 novembre prochain, soit la veille de l'anniversaire de CoCyclics.


Bientôt quatre ans. Saviez-vous que dans les contes, les grenouilles se transforment ? Eh bien, c'est vrai. Hier un nouveau roman a trouvé un éditeur, d'autres suivront vite et avec Tremplins, nous ferons plus encore demain.


:-)


À lire:  l'annonce officielle sur Tintamar(r)e

PS: Du coup, j'ai un nouveau site à faire pour Tremplins, et un déménagement de site web à organiser.

PS2: Merci à ma secrétaire, trésorière et amie Roanne pour son aide précieuse.

mardi 12 octobre 2010

Préventes, J-21, la vie continue

Siwès Chronicles

J'approche de la fin des aventures de Baxian, dont la destinée s'accomplit avec son lot de péripéties (mais non, je ne le malmène pas genre concours de dressage, avec roulé-boulé saut triple-boucle piquée. Il court juste un peu, et pas très longtemps en plus.)

Je me représente les personnages comme des marionnettes de chair, dont les mouvements et les sentiments sont les ficelles que j'agite. Oui, c'est un poil barbare, mais fort amusant. Certains s'arc-boutent et tirent comme des boeufs sur les ficelles, question de caractère.

Je réfléchis toujours à la caractérisation.C'est l'une des notions les plus complexes à maîtriser en terme d'écriture, qu'il s'agisse de ce qu'elle doit prendre en compte ou de quelle façon elle doit se traduire.

Au Sortir de l'Ombre

Je suis en attente de la suite des opérations, fébrile mais déterminée. Je pense à la parution, aux critiques à venir. Je me prépare aux désillusions possibles, parce qu'aucun texte ne pourra jamais plaire à l'ensemble du lectorat du genre.

J'ai toujours envisagé Au Sortir de l'Ombre comme un roman d'action divertissant, où le suspens et le frisson se ménagent la part belle. Garder le lecteur en haleine. Suivre différents personnages qui entrent au contact de l'ombre. Vivre l'intensité de la poursuite. Sentir l'emprise du gothan sur les murs et sur les gens. Ne pas lésiner et aller au bout.

En gros, j'ai le même lectorat que Stéphen King. J'aurai forcément de bonnes critiques. :-D
Ou pas, du coup... :-/


En parallèle...
J'écris une nouvelle. Elle met en scène de dangereuses créatures originelles qui se livrent une lutte passionnée.

J'ai envie de réserver http://syven-mondes.org et de me faire un site d'ici janvier. Seul problème, je n'ai pas le temps du tout. Je vais réfléchir quand même.

mardi 5 octobre 2010

Préventes, J-27

J'ai failli oublier ! Non mais j'ai failli oublier ! Les préventes pour Au Sortir de l'Ombre démarrent dans 27 jours. Et vous savez quoi ? La tension est montée d'un cran.


Les préventes, kesako

La prévente est une réservation du roman à paraître à sa sortie. Elle vous assure que vous recevrez votre exemplaire rapidement  dès que le roman sera disponible et elle s'assortit en général de cadeaux, comme des frais de port offerts et parfois des marque-pages ou des cartes postales.

Dans le cas d'Au Sortir de l'Ombre, en plus des frais de port offerts, sera joint un flyer cartonné. (Hiiiiiiiiiiiii!) Si vous souscrivez sur papier en joignant un chèque, il ne sera encaissé qu'au jour de la parution. Si vous optez pour du paypal, vous êtes débité(e) tout de suite.

Mon éditeur estime et ajuste le tirage en fonction du nombre de souscriptions. Donc, c'est une étape importante dans la vie du roman. (Je ne peux que vous encourager vivement à souscrire si ce texte vous intéresse.)

En coulisse

Et donc, il y a du mouvement. Cette semaine, j'ai écrit au talentueux Aurélien Police pour lui parler du roman et de la couv'. J'ai sévèrement brainstormé avec les premiers lecteurs, recueilli plein d'images textuelles, trié, écrit clairement ce que j'attendais de cette couv', ce qui me tenait à cœur... J'ai aussi essayé de penser à l'acheteur-cible pour l'appeler à prendre le livre en main...
Pour un aperçu de mon brainstorming, voir ci-contre... C'était assez stressant. Les couvertures prennent une grande place dans le potentiel coup-de-cœur-achat du lecteur. (J'en suis régulièrement victime.)
D'autre part, une couverture raconte une histoire. Elle joue le rôle de promesse en lui donnant un aperçu des enjeux, et elle doit interpeller. Il faut qu'elle donne envie au passant de regarder dedans ou au dos...
Donc, les enjeux sont conséquents. Cependant, comme le dit si justement Alexis mon éditeur, tout ce que fait Aurélien Police est magnifique, et comme les indications que je lui ai données lui ont inspiré une image, on ne devrait pas être déçus.

Je vous tiens au courant.


Conclusion : 
Life is good.