jeudi 30 octobre 2008

Ma pocheeette à fermeture éclair

Voilà, admirez le travail.

Mais je n'en ferai pas d'autre des comme ça. :-p
Désolée. (Ou pas!)



PS: on clique clique pour voir les autres photos !

mercredi 29 octobre 2008

Un sac pour un MSI

Voilà, j'ai fini par vaincre ma flemme et dégainer l'appareil photo pour vous montrer le sac que j'ai réalisé pour Aphrael:





Satin noir et tissu Little fabric importé de Londres. La classe.
Plus de photos ici.

mardi 28 octobre 2008

Dans le calme

J'ai du mal à m'agiter à cette heure. Lorsqu'il fait froid et sec, j'adore mon cocon de train-train quotidien, chaud et prévisible. Il fait 25 dans mon bureau, je me sens à ma place comme à la maison, et compulser mes petites choses à ajouter dans mes documents me suffit amplement.

C'est le matin. Il faut y aller doucement.

La crise est comme le remugle lointain de la mer, une fois sa puissance oubliée... On n'imagine pas qu'elle pourrait venir tout bouleverser, d'une chiquenaude.

***

Je suis prise d'une flemme mes enfants, d'une flemme !!! C'est l'hiver, le feu dans la cheminée, la perspective repoussée de ma fin de correction pour Au Sortir de l'Ombre...

Hier soir, j'étais seule, j'aurais pu faire de la couture en veux-tu, en voilà ! Je me suis contentée d'accrocher une anse et un bouton au sac d'Aphrael. Je n'ai même pas eu le courage de le prendre en photo.

Après, j'ai décousu tout ce que j'avais fait pour So. J'ai changé d'avis. Et du coup je n'ai rien fait de plus, j'ai regardé la télé.

J'ai lu la nouvelle de NB dans Vanille Givrée, je l'ai trouvée très bonne (ah ah !), et je vous la recommande chaudement (oh oh!) :




mercredi 22 octobre 2008

Il a eu son financement

Si je fumais encore... je serais allongée sur mon divan, en slip t-shirt, la clope à la main, le verre de rhum sur la table. Je dessinerais des ronds improbables, qui s'envoleraient en fumée vers la cheminée. Le bois crépiterait sans demie mesure, pour habiller le silence, et réduire au néant le sarcasme dont si souvent il me gratifie.
Il arrive que ce genre d'instant se produise et dépérisse, alors tant que je le surveille du coin de l'oeil, à s'amuser avec les braises, je le retiens. Nul besoin d'aircraft, de fantôme ou de licorne, pour saisir quand un moment de magie nous est accordé.
Tout devient simple, le monde reprend sa place, et enfin se pointe la normalité.
Est-ce possible vraiment? Est-ce l'alcool qui me ment? Ou bien, suis-je si méfiante comme les chats errants que je ne puis supporter un simple moment de grâce ?
Je ne fume pas ma clope mais je suis sur mon divan. J'ai basculé en arrière et de mes épaules, j'ai rejeté le poids des craintes. Tout cela vous paraîtra grandiloquent, mais il y a quelques minutes, j'observais soulagée, au-dessus de moi, le firmament.

mardi 21 octobre 2008

Un petit bilan des vacances

Force est d'avouer que ma semaine de vacances n'a pas été prolifique.
Je me suis cousue une pochette pour mon eee, mais je me suis galérée au point que j'ai dû m'y prendre à trois fois (c'est un autre modèle, mais inutile de me faire les yeux doux pour en avoir une, je me suis trop galérée, même si j'ai trouvé depuis al solution à mon problème...)

Question collectif, je n'ai pas installé le mod promis sur le forum de CoCyclics...

Question corrections, ahem. Moi qui me disais que j'allais réussir à terminer pour les utos, je m'enfonçais grave le doigt dans l'oeil. Arrivée page 400 (sur 500, danse de la joie, youpi mega tralala), je me rends compte d'une ENORME incohérence qui — tatatam, investigation process —remonte à la page 300.

Je vous avoue avoir laissé échapper un bon gros juron bien grossier. A peine ai-je fini de lacorriger, que je me rends compte d'une nouvelle incohérence, localisée cette fois, mais qui me demande intrinsèquement de faire un choix cornélien. Plus de sang ? Une déroute totale, un problème terrible pour la Guilde d'Ae? 

Ouais. Et en plus ! J'ai un problème de fluidité au niveau d'une scène super importante, et de nouveau une blessure que j'ai complètement oubliée. Genre, à chaque fois qu'ils se battent mes gens, ils sont blessés. Mais j'oublie cinq pages plus loin. Non mais franchement ! A croire que j'ai de l'eau dans le cerveau !!! J'ai un peu supprimé pas mal de blessures, trop en fait. Je ne peux pas non plus les laisser traverser tout ça indemnes, ce serait trop injuste (et pas très réaliste).

Donc je suis bloquée à 80% de la fin. 
Rha.

RHAAAA !

Life is a bitch.


PS: vous trouvez ça normal vous, que l'argent de l'état, de NOS impôts, il aille aux banques pour qu'elles nous fassent des prêts qui les engraisseront à nos dépens, quand on ponctionne l'éducation et la santé? Crise ou pas, j'ai un peu de mal à encaisser.

jeudi 9 octobre 2008

Drôle de silence

Ce n'est pas que je n'ai plus rien à dire sur l'écriture. Enfin peut-être.

Je me rappelle avec une certaine joie le temps où je buchais sur les aventures de Robert (je m'écorche les yeux à chaque fois que j'y jette un oeil à cause des fautes d'orthographe, il faudrait vraiment que je fasse quelque chose). J'étais toute neuve sur ces sujets, je me documentais, j'apprenais... Non pas que je n'ai plus rien à apprendre, c'est juste qu'à partir d'un moment, rien ne vaut l'expérience de la pratique. Je n'ai plus besoin de mes recettes pour les appliquer, je les connais bien (et pour l'orthographe, il n'y a pas grand chose à faire, sinon lire et se relire encore plus.)

Hier soir, je lisais un peu (pour changer), et je me suis rendue compte que j'ai basculée en mode bêta-lecteur à l'instant même où l'auteur a commis deux trois erreurs sur la même page, des tournures bizarres, un problème de référence grammaticale. Heureusement, page suivante, tout est rentré dans l'ordre. Sur le coup, ça m'a fait l'effet d'un truc de dingue. J'ai eu l'impression que cette seule page avait échappé à l'oeil acéré de l'auteur. 

Après, il y a eu le moustique. Cette saleté de moustique qui bourdonnait dans la chambre. Je l'entendais sans le voir. Il m'a gâché ma lecture pendant dix bonnes minutes. Je le sentais s'approcher, s'éloigner... Je regrettais presque les araignées (car mon chéri a mis dans la chambre des baguettes pour qu'il n'y ait plus de trous entre le lambris et le plafond; du coup, on n'a plus d'araignées dans la chambre).

J'ai quand même fini par le buter le moustique (j'ai eu une petite pensée pour Sperare au passage — rha, les noobs, ils connaissent pas le Monde des Fedeylins). 

De temps en temps, quand ma force écrasante triomphe de la nature, je me sens presque l'aura d'un gothan, sanguinaire, machiavélique, surpuissante et au-dessus de tout !!!!  Mouahahahahah ! Bon, et puis après je suis retournée à l'ombre (i.e. j'ai éteins la lumière pour faire dodo — j'acquiesce, il serait temps que je finisse mes corrections d'Au Sortir de l'Ombre avant que jene  finisse complètement barrée).


mardi 7 octobre 2008

B-eee-sace "Divi special"

Je l'ai faite pour la femme de mon copain Divi. C'est pour un eee 1000. Il manque la perle pour la fermeture. Ca pète hein? Pour une fois que les photos sont lumineuses !
J'ai découvert quelque chose ce WE: le pied pour les fermetures éclairs ! c'est vachement plus simple d'utiliser le pied fait pour, que de se galérer comme je faisais avant ! ^^

Bon. Plus que trois b-eee-saces en liste. Pfiou. Mais j'ai trop plein de trucs à faire à côté !
ps: d'autres photos sur mon album: http://www.flickr.com/photos/27912371@N04/sets/72157605768795187/



lundi 6 octobre 2008

B-eee-sace dentelle

Il faudrait qu'on m'explique pourquoi me photos sont toujours hyper sombres.

Donc, je vous présente la b-eee-sace dentelle, faite pour Lowett, assortie à la pocheeette du même nom dont elle est l'heureuse propriétaire.





Plein de photos sur mon album !

vendredi 3 octobre 2008

Non, je ne suis pas morte

C'est pas que je vous oublie, c'est plutôt que j'ai une crève de cheval, et que ça me tue toute vélléité de faire quoi que ce soit. A part bouquiner un peu. D'ailleurs, j'ai découvert le mode e-book du eee, très très bien, j'ai décidé de poursuivre ma lecture des fedeylins comme ça, vu que mon chéri éparpille du Au Sortir de l'ombre un peu partout, ça me fait bien assez de paperasses sur lesquelles glisser au réveil — merci, ô coeur de ma vie.

Bref, je parlais de moi en fait. J'aime bien. Bon, donc, ma gorge est en flamme, mon sinus est bouché, ma tête a triplé de volume, ET j'ai un mini panari au bout du pouce.

Life is a bitch.

Je n'ai rien corrigé cette semaine, alors que bon sang, je voudrais finir pour le 1er novembre. Y'a les utopiales, donc dans mon planning, c'est la date charnière.

(Je me rappelle plus où je voulais en venir d'ailleurs... Ah si.)

Comme j'étais naze mercredi, et comme je ne peux pas rester à rien faire (considèrerais-je la sieste comme un élément obscur de la force???) , je me suis dit banco, je vais faire de la couture pendant que le Haricot dort. Bien mal m'en a pris, j'ai commis une erreur classique (j'explique pas, y'aurait qu'une photo qui ferait l'affaire et j'en ai pas prise), je me suis échinée, j'ai tout décousu puis recousu... Et bam, alors que j'avais presque fini la b-eee-sace de Lowett, drame, plus de fil marron. PLUS DE FIL MARRON ! Alors que si j'avais juste cousu comme il faut, à l'heure qu'il est le sac serait à la poste, parti pour la Belgique.

J'en profite pour annoncer que blah, c'est fini les commandes, j'en peux plus de travailler comme une bête. Donc après la petite dame qui m'a fait une demande sur CoCyclics, c'est FINI.

Rha. Je suis trop fatiguée. Vivement mon lit.