Je mets à profit mes trajets en voiture, quand je suis seule avec la musique, mon catalyseur. C'est à ce moment-là que tout se décide en réalité. J'enregistre les scènes, je les passe et repasse dans ma tête. Ce qui est amusant, c'est que j'ai beau préparer, je digresse au moment de choisir les mots. C'est là que les personnages se libèrent de mon carcan. Chacun a ses mécanismes et sa cohérence propre, et j'ai beau m'échiner, aucun n'est assez docile.
Je suis si contente d'avancer de la sorte, eh eh ! Ce qui me réjouit aussi, c'est que ce texte n'est pas dénué d'optimisme. Je n'oublie pas la part de rêve, et j'espère que mes bêta-lecteurs se régaleront avec.
Voilà, un post à 100% puant d'auto-satisfaction de fierté, et tout, et tout, avec des chevilles énooormes, cela va sans dire. N'empêche vaut mieux, parce qu'après le premier jet... il y a la relecture ! -_-
Là, je vais moins rigoler.
edit : oups, je suis à 437 000 SEC. Histoire de comparer avec le précédent article.
3 commentaires:
Un mois ??? Vivement !
Go Syven, fais-toi plaisir ! (pour mieux nous faire plaisir après !)
Eh bien : tu peux être très fière :)
Merciiiiiii !
Bon, j'y retourne !
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